L’audit social en Grandes Entreprises (GE)

L’AUDIT SOCIAL POUR GRANDES ENTREPRISES

Grandes entreprises : l’Audit social peut se pratiquer dans plusieurs situations

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D'abord à titre préventif :

Grandes entreprises, pour évaluer la situation sociale de l’entreprise à un moment donné

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Mais aussi à titre curatif :

Pour remédier à une situation qui se dégrade, sur le plan social.

Les avantages de l’audit social pour les Grandes entreprises ?

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D'abord, la sécurité :

Identifier et réduire les risques liés au non-respect des règlements

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Mais aussi, la qualité de l’information :

Vérifier que les dispositions sont prises sur la base d’une information pertinente

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Et, l'efficacité :

Identifier les risques de non réalisation des objectifs dans le cadre de la politique établie et préconiser des actions correctives afin de corriger anomalies détectées

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Mais aussi, la maitrise des coûts :

Cerner les coûts de gaspillage des ressources et contrecarrer les coûts cachés, créant ainsi de la valeur ajoutée

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Ou encore, l'amélioration des choix stratégiques :

Prendre en charge le suivi de la mise en œuvre des mesures correctives et instaurer une veille sociale pour améliorer les pratiques

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Et enfin, l'image :

Conforter l’image de l’entreprise, mais également auprès des représentants du personnel sur leur gestion sociale

Audit social interne ou externe ?

De fait, l’audit social en Grandes entreprises peut se réaliser en interne. Dans ce cas, il se confie à une personne ou un service interne à l’entreprise. Egalement, il peut se réaliser en externe : un auditeur social (ou cabinet) peut alors se missionner. Dans les faits, l’auditeur va analyser plusieurs aspects de l’entreprise :

  • D’abord, le respect des dispositions en vigueur (lois, convention collective, accords collectifs, accords d’entreprise, etc.) ;
  • Et la régularité des contrats de travail ;
  • Mais aussi, la régularité des procédures mises en place par l’entreprise (recrutement, congés payés, licenciement…) ;
  • Ou encore, les règles de santé et de sécurité ;
  • Et le climat social ;
  • Ou aussi, les institutions représentatives du personnel (Comité Social et Économique) ;
  • etc.

Souvent, il est recommandé d’associer l’audit social interne à un audit externe, réalisé par un auditeur. De fait, son recul et son regard objectif sur le fonctionnement interne de l’entreprise matérialiseront en effet les gages d’efficacité.

Dans les faits, la mission de l’auditeur externe, ainsi que l’étendue de son champ d’action doivent être clairement définis dans sa lettre de mission afin que l’audit puisse se dérouler dans les meilleures conditions possibles.

Logiquement, la réalisation d’un audit social peut présenter des difficultés dès lors que les effectifs de l’entreprise sont importants. En effet, le volume d’informations à traiter augmente mécaniquement avec le nombre de salariés. De fait, une structure d’une certaine taille aura donc tout intérêt à faire appel à un cabinet extérieur, ce qui lui permettra d’assurer l’efficacité de l’audit réalisé.

 

L’appréciation des contentieux en cours

    Les contentieux qui n’ont pu être évités doivent se quantifier, et leur risque financier évalué, de telle sorte que les condamnations potentielles soient budgétisées, ou qu’on incité à transiger sur certains contentieux en cours.
    Cette phase permet également de vérifier que des situations similaires ne peuvent pas s’amener à se reproduire, et dans cette hypothèse, de les éviter par la prise de mesures individuelles ou collectives.

    Ainsi, l’audit social d’une grande entreprise (GE) comprendra un audit de conformité, un audit d’efficacité, un audit de paie et un audit stratégique.